Besso Danse
Enseignement de la danse classique à Saint-Orens
 
17 Bd du Libre Echange, 31650 Saint-Orens-de-Gameville
 

Quelques confidences de Mikhaïl Baryschnikov quand il avait 38 ans :


« Chaque mouvement est douloureux. Mais, en dépit de ce corps qui a trente-huit ans, il y a, quand on a dansé comme moi pendant vingt-huit ans, ce quelque chose de particulier : le plaisir du mouvement. Comme chez les sportifs  et les chanteurs, même la douleur fait partie du plaisir. Il y a une accoutumance physique très puissante et stimulante qui peut vous soutenir le temps d’une représentation alors même que l’on est fatigué… »

 

« … j’ai été admis à onze ans dans une école professionnelle. A partir de là, ma vie a terriblement changée. J’ai abandonné la gymnastique, le football, le ski – J’ai tout abandonné et je me suis voué au ballet totalement, vingt-quatre heures sur vingt-quatre… »

 

« … C’est lorsque j’ai eu quatorze ans que j’ai su que je deviendrai un danseur professionnel. Alors, j’ai commencé à comprendre le plaisir de travailler, le plaisir de faire bien, de le faire comme c’est écrit dans les livres… »

 

« … On a toujours des douleurs musculaires, des difficultés particulières qu’il faut travailler et retravailler. A cette époque, je ne savais pas ce qu’il adviendrait de moi comme danseur classique. Même s’ils me trouvaient bon, j’étais petit de taille et je n’aurai jamais même rêvé de danser un jour le rôle d’Albrecht dans « Giselle ». Je croyais que je finirai comme Joker ou Arlequin, je ne sais où. Pourtant, j’essayais d’oublier ce petit problème – et j’avançais… »


Derniers articles

Claire MOTTE

L'HYMNE A LA JOIE

AVANT LE SPECTACLE

Catégories

Réalisation & référencement Simplébo   |   Site créé grâce à La SG

Connexion